Au Théâtre Rive Gauche
Lors de l’automne 97, nous avions rencontré un grand succès en organisant une soirée théâtre au sujet de la pièce « Le Libertin » du jeune auteur Eric-Emmanuel Schmitt. Son spectacle sur Diderot se jouait au théâtre Montparnasse déjà dirigé par Myriam de Colombi qui avait choisit avec Bernard Murat, le metteur en scène, Bernard Giraudeau dans le rôle principal.
A l’issue de ce spectacle, remarquable d’intelligence sur le principal animateur de « l’Encyclopédie », nous avions reçu à dîner l’ensemble de la troupe au Caffé Foy et les convives de cette soirée inoubliable avaient tous été émus autant que troublés par l’ingénuité d’une toute jeune comédienne inconnue, encore plus belle à la ville qu’à la scène, portant le nom de Claire Keim.
Seize ans plus tard, nous vous proposons de nous rendre nombreux, au Théâtre Rive Gauche qui appartient désormais à Éric-Emmanuel Schmitt, pour y voir la dernière pièce écrite par ses soins « The Guitrys » avec comme actrice principale Claire Keim dans le rôle d’Yvonne Printemps
C’est ce spectacle tonifiant et plein d’humour que nous vous proposons pour la date du
jeudi 28 novembre à 18H30
(lever de rideau à 19 heures)
Comme pour la dernière pièce à laquelle nous avons assistée « L’affrontement » avec Francis Huster, le spectacle sera suivi d’un dîner dans les salons de l'Hôtel Mercure. Pour notre plus grand plaisir Claire Keim et Steve Suissa nous rejoindront à l'issu du spectacle.
Dans les Années folles, pendant 15 ans, le couple légendaire que formaient Sacha Guitry et Yvonne Printemps régna sans partage sur Paris et le monde entier.
Faisons un rêve, le rêve d’une pièce que Sacha Guitry aurait écrite dans sa vie et dont il aurait confié la dramaturgie et les dialogues à Eric-Emmanuel Schmitt. Voici, sous les mots d’esprit, une histoire d’amour traversée de bonheurs, de querelles, de tromperies, de jalousies, celle de deux amants magnifiques et impossibles, la passion d’un homme de génie pour un rossignol qui ne supportait pas sa cage.
« Quelques années de grande passion, quelques années de grands soupçons, quelques années de grande souffrance. Au fond, tout fut grand
"Éric-Emmanuel Schmitt"